8 astuces pour avoir une bonne relation de mentorat

Le mentorat est tout nouveau pour vous? Vous souhaitez vous impliquer en tant que mentor‧e, mais ne savez pas vraiment ce qui est attendu de vous?

Ou le doute vient bloquer votre élan quand vient le temps de contacter quelqu’un comme mentor‧e? Vous hésitez non seulement sur quoi demander, mais aussi comment et quand…

Pour vous aider à surmonter ces incertitudes, on vous présente 8 conseils pour démarrer et maintenir une relation mentorale saine et épanouissante !

 Pour les mentoré‧e‧s :

  1. Investissez-vous. Votre mentor‧e vous aide bénévolement, il/elle n’attend rien en retour si ce n’est votre implication dans cette relation. Si vous n’êtes jamais disponible, ou ne répondez qu’après un long délai à chaque message, il risque de prendre plus de temps pour un‧e autre mentoré‧e qui lui, se montrera proactif.
  2. Acceptez que votre mentor‧e ne soit pas disponible. Encore une fois, cette personne fait cela sur son temps libre, bénévolement, entre son travail, sa vie personnelle et tout le reste.
  3. Définissez ce que vous voulez. Y a-t-il quelque chose en particulier dont vous souhaitez découvrir grâce à votre mentor‧e ? Pourquoi avec cette personne-là d’ailleurs ? Dites ce que vous attendez de lui/elle, qu’il/elle sache comment vous aidez. S’il n’y a pas une chose en particulier, mais que vous voulez simplement discuter, c’est une raison tout aussi valable, il faut simplement en aviser votre mentor‧e !
  4. Remerciez votre mentor‧e pour son temps, son aide. Cela peut paraître anodin, mais recevoir un remerciement ça fait toujours plaisir. Dire merci c’est rapide, c’est gratuit et toujours très apprécié.

 

Pour les mentor‧e‧s : 

  1. Définissez un cadre et les attentes. Vos mentoré‧e‧s en sont peut-être à leurs premières relations mentorales et ne savent pas forcément comment ni quoi demander. Aidez les à préciser leurs attentes et à définir un fonctionnement qui conviendra aux deux parties.
  2. Écoutez avant de conseiller. Cela peut paraître évident, mais si votre mentoré‧e vous présente une situation que vous connaissez bien, il serait facile de lui indiquer tout de suite des exemples tirés de votre expérience. Toutefois, même similaires, deux situations ne sont jamais identiques ! L’environnement et les personnes impliquées dans cette situation ne sont pas les mêmes. D'autre part, votre mentoré‧e ne réfléchit et n’agit pas de la même manière que vous. C'est pourquoi, il est primordial de questionner et d'écouter votre mentoré‧e afin d'obtenir le plus d’information pour pouvoir l'aider de manière réfléchie.
  3. Amenez la réflexion plus loin et laissez-les décider. Vous n’êtes pas là pour offrir LA solution au problème présenté, sans réflexion ou discussion. Votre rôle est de conseiller, de faire réfléchir votre mentoré‧e afin qu’il/elle ait toutes les clés en main pour prendre sa propre décision.
  4. Si vous n’avez pas le temps, vous ne l’avez pas. Vous voulez aider des jeunes (et des moins jeunes) et c’est tout à votre honneur. Malheureusement, il arrive parfois que vous ayez des imprévus ou des périodes plus compliquées qui vous rendent peu, voire pas disponible du tout. Nous vivons tous ce genre de moment. N’hésitez pas à le faire savoir à votre mentoré‧e et à vous mettre indisponible pour éviter de recevoir de nouvelles demandes de mentorat.

Vous souhaitez en apprendre plus sur le rôle et les responsabilités d'un‧e mentor‧e ? Consultez notre calendrier de formations en mentorat.

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