Comment contacter un mentor pour démarrer un projet d'entrepreneuriat

Vous savez que vous tireriez profit des conseils d’un mentor mais vous bloquez quand vient le temps de passer à l’action en contactant quelqu’un sur Élo ? On a voulu vous faciliter la vie avec des exemples de premier message. 

Adaptez-les à votre situation ou vos objectifs et débutez enfin votre première conversation mentorale !

Vous pouvez aussi essayer notre générateur de premier message afin de créer un premier message qui correspond à votre situation.

1) Trouver un mentor en entrepreneuriat

« Bonjour Guy,

Je suis présentement inscrit au parcours entrepreneurial Rémi-Marcoux du HEC et j’aime vraiment ça ! J’ai précédemment étudié en marketing et en management et même si je n’avais pas l’entrepreneuriat en tête en commençant mes études, ça me paraît maintenant être la voie idéale pour moi. J’ai déjà une idée d’entreprise en tête (une application de réservation et gestion de soins de santé) et deux associés, dont un qui étudie présentement avec moi. Je ressens toutefois le besoin de demander des conseils à un entrepreneur d’expérience, qui pourrait me guider sur des questions telles que l’attribution des parts, le partage des responsabilités, les rondes de financement, etc.

En fait, j’ai beaucoup de questions donc il serait peut-être préférable d’éventuellement se prévoir un café ou un appel, mais on peut commencer par quelques messages via l’application. »


2) Transformer un hobby ou une passion en projet entrepreneurial

« Bonjour Mme Renaud, je suis tombé sur votre profil en faisant une recherche avec le mot-clé “photographie” et j’ai réalisé que vous avez un parcours qui ressemble pas mal au mien. Comme vous, j’ai étudié pour devenir psychologue parce que le sujet me passionne, mais aussi pour pouvoir être maître de mon horaire et ainsi m’adonner à mon autre passion : la photo. Or, depuis quelques mois, c’est cette dernière passion qui m’allume le plus et, même si les honoraires sont moins importants que ceux que je gagne comme psychologue, j’ai l’impression que je pourrais arriver à bien gagner ma vie en vivant presque seulement de ça.

J’ai quelques clients déjà et un gros réseau de contacts qui m’aide à trouver des contrats payants, comme des mariages, sur une base régulière. Toutefois, j’hésite à faire le saut, par fidélité envers des gens qui viennent me consulter depuis des mois, voire des années et que je devrais arrêter de voir, mais aussi, je l’avoue, par peur de faire le mauvais choix financièrement.

Comment s’est passée la transition de votre côté ? »


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