Découvrez le témoignage inspirant de Nathalie Lefebvre, mentorée sur Élo

Cet été, la vie professionnelle de Nathalie a changé lorsqu’elle a obtenu un nouveau poste d’agente de gestion du personnel dans son équipe de travail au CISSS du Bas-Saint-Laurent où elle était précédemment technicienne. Ce nouvel emploi, accompagné de nouveaux défis, a motivé Nathalie à profiter de son accès à la plateforme de mentorat Élo offerte par l’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés afin de se trouver un(e) mentor(e) provenant du réseau de la santé ou des technologies de l’information.

Le profil de la mentore Louise, conseillère en développement professionnel, a fait le bonheur de Nathalie. Leurs échanges lui ont permis d’intégrer son nouveau poste avec brio et de rapidement mettre en place des stratégies de gestion efficientes au sein de son équipe.

Découvrez-en plus sur son parcours:

Qu’est-ce que la crise de la COVID-19 a engendré comme changements dans votre quotidien professionnel?  

Nathalie Lefebvre : « Je travaille au CISSS du Bas-Saint-Laurent. Au début de la crise, j’étais technicienne en administration au Service de la rémunération et des avantages sociaux. La crise a amené quelques changements, dont celui de ne plus rencontrer les employés en personne. Étant déjà fort informatisé, cela n’était pas un grand changement. Quelques semaines plus tard est venue la proposition du télétravail de façon volontaire. Notre gestionnaire ne nous y obligeait pas, mais j’ai tout de suite sauté sur l’occasion. Je me suis alors installée chez moi, dans la chambre du chien (rire), et mon conjoint dans la roulotte à partir du mois de mai. »

Qu’est-ce que vous aimez des changements depuis mars?

NL : « J’adore le télétravail. Je me rends compte que l’environnement physique de l’édifice à bureaux est « anxiogène » pour moi. La concentration y est parfois difficile. De plus, au début de la pandémie, c’était un sujet quotidien de discussion et un facteur de stress supplémentaire en collectivité. Le télétravail m’a donc apporté un sentiment de sécurité, de bien-être et de confort. Fait à noter : je ne suis pas particulièrement anxieuse, mais je m’aperçois que je suis réellement mieux à la maison. »

Quel était votre défi au moment de contacter votre mentor?

NL : « En janvier 2018, suite à des études universitaires en administration et en GTI, j’ai obtenu un poste de technicienne. Quelque temps plus tard, l’agente de gestion du personnel de mon service a pris congé pour 1 an. J’ai alors eu envie de me lancer dans le processus de remplacement et j’ai obtenu l’emploi!

Le soir où j’ai obtenu le remplacement, je mettais mon profil Élo et LinkedIn à jour. Je recherchais un ou une mentor avec de l’expérience dans le réseau de la santé et/ou en technologie de l’information (puisque notre service s’informatise de plus en plus). J’ai contacté une mentore sur Élo et moins de 24h, elle me répondait.

Mon défi touche plusieurs aspects :

  • Un emploi de niveau universitaire pour la première fois
  • Devenir chef d’équipe de l’équipe dans laquelle je travaille depuis 2 ans.
  • Comme c’est un remplacement, je vise soit à obtenir ce poste si la personne se désiste ou obtenir un poste de même niveau si la personne revient, donc entrevue à prévoir… encore!  »

Comment votre mentor sur Élo vous aide à surmonter ce défi?

NL : « Ma mentore est vraiment fantastique! Elle me rassure et me met en confiance. Je lui expose des problèmes et lui présente la façon dont j’y ai réagi. On en discute et elle m’apporte des pistes de réflexion supplémentaires. Elle me guide énormément à partir des réflexions que je lui apporte. D’autres fois, je lui demande des conseils sur des situations précises et elle me guide vers des solutions envisageables.

Elle me soutient dans la mise en place de stratégie lors de situations conflictuelles. Durant nos rencontres suivantes, elle revient sur ces situations et s’assure que les processus que j’élabore se déroulent bien. Par exemple, ma mentor me propose différentes démarches tel l’encouragement à l’autonomie, des stratégies toutes simples de reconnaissance, c’est efficace! D’ailleurs nos prochaines rencontres porteront sur les formes de reconnaissance. Elle a fait des recherches universitaires à ce sujet, je profiterai donc de ces connaissances!

Elle m’aide également à revoir mon Curriculum Vitae et à préparer ma prochaine entrevue. »

Quels moyens de communication avez-vous utilisés pour échanger avec votre mentore et à quelle fréquence?

NL : « Nous avons pris contact sur l’application de mentorat Élo. Nos rencontres se font sur l’application Teams, toujours en vidéoconférence. J’habite à Rimouski et elle sur l’île de Montréal. Nous avons commencé à la fin mai avec 3 rencontres aux 2 semaines. Ensuite, les vacances ont commencé et on poursuit maintenant nos rencontre 1 fois par mois. »

Qu’appréciez-vous de votre mentore?

NL : « Elle est très disponible, je peux la contacter entre les rencontres. Elle a une excellente vision du travail et d’une équipe de travail. Elle est vraiment compétente dans le domaine du développement des compétences. »

Auriez-vous une anecdote en lien avec votre mentore à nous partager?

NL : « Lorsque je lui ai dit que j’habitais Rimouski, elle m’a raconté qu’elle avait déjà enseigné à l’université de Rimouski. Elle a fréquenté des endroits que j’ai fréquentés aussi… peut-être nous serions nous déjà croisées… qui sait !? »

Comment s’est déroulée votre adhésion à l’application de mentorat Élo ?

NL : « Pour moi, cela a été très facile d’adhérer au programme de mentorat de l’Ordre des conseillers en ressources humaines via Élo. Moi qui croyais que le mentorat n’était efficace qu’avec des mentors de notre organisation, eh non! L’approche du mentorat développé par Élo est vraiment efficace et les échanges y sont enrichissants. Je croyais aussi que ce programme s’adressait à des jeunes gestionnaires, eh non! Le mentorat s’adresse aux vieilles professionnelles aussi (rire). Alors oui j’encourage tous nouveaux professionnels à adhérer à la plateforme Élo Mentorat! »  

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Le monde du travail tel que nous le connaissions a changé et Nathalie, comme plusieurs autres professionnels, a su adapter ses méthodes de travail à cette nouvelle réalité. Bien que la pandémie n’ait pas eu d’impacts significatifs sur ses activités, Nathalie a tout de même ressenti le besoin de communiquer avec une mentore pour l’accompagner dans l’apprentissage de ses nouvelles fonctions. Avec le confinement, le télétravail et de nouvelles responsabilités, l’écoute empathique d’une mentore a permis à Nathalie d’obtenir le soutien dont elle avait besoin pour poursuivre son développement professionnel.  

Nous espérons que ce témoignage vous motivera à vous lancer dans le mentorat et à prendre contact avec un mentor, si ce n’est pas déjà fait :)

Nous avons aussi un générateur de premier message que vous pouvez utiliser pour vous aider à briser la glace!



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